Lorëlianne. ' Parceque vous ne vallez rien ! '(Rp...)

-> Je n'ai pas déposé de candidature avant d'intégrer la guilde alors voilà voilà la fabuleuse histoire de Lorëlianne et les sept sommeil (que vous aurez à affronté avant de voir la fin ! )

(Oui je vous ai tous battus sur la longueur mais quand je me met à écrire... je m'arrête que quand ma plume est vide! et puis j'ai vu qu'il y avait de futurs écrivains parmi nous alors j'ai décidé de m'y mettre aussi au cas ou il y aurait aussi un éditeur qui passerait par là! ..Me reste juste à travailler un peu le contenu, je l'ai fait un peu à l'arrache alors ça reste simple )

Bonne lecture!
(ps: c'est bourré de fautes je ne les ai pas toutes corriger avant de l'envoyer je m'excuse d'avance j'vais m'en occupé)
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-------------------------------------->< Lorëliannne et autre contes... : ><---------------------------------------
- Lorë production, tous droit réservés.

• Lorë begin.

- J'ai passé mon enfance dans la contrée d'Aile de Lune qui était sur une petite île non loin au Sud d'Exodar aujourd'hui.
Cette petite île a vu mes 4 ans et les 15 années qui suivirent, j'ignore tout d'où je suis née.. Et de ma vie d'avant, Mon père ne parlait jamais de ça.
Il voulait redémarrer une nouvelle vie avec sa nouvelle fiancée.. Oui ma vrai mère est morte de maladie quand j'étais encore un petit nourrisson incapable de la défendre.. Je n'avais qu'un frère aîné à l'époque, Helrohir qui avait 15 ans de plus. Hélas lui à vite rejoint les champs de bataille et sa fin nous fut bien vite annoncée.. Je n'ai jamais vraiment eu le temps de le connaître,
il venait rarement nous voir, il n'aimait pas notre belle mère ni les choix de mon père et c'est avec moi qu'il partait souvent en escapade dans les bois quand il venait.
On y passait des heures et je la connaissait comme ma poche! J'avais aussi une demi-sœur mais je ne la connaissais pas encore. Mon père était un fier guerrier de la horde et ma mère elle,
une enchanteresse assez célèbre.

• Palantir et les 40 pirates.

- J'avais alors 14 ans quand une fois plus quand nous étions partis avec mon frère , nous avions fait une rencontre des plus inattendues.
Nous avions surpris des pirates sur la crique à remplir leur bateau, apparemment ils avaient un entrepôt sur l'ile dans une caverne.. Ils devaient y dissimulé leur butin.
Parmi leur cargaison il y avait des animaux : des chiens, des tigres, des lions je ne sais plus trop.. Mais mon frère amoureux de la nature lui s'était mit en tête de les libérés.
Je l'ai alors suivit furtivement et nous avons réussi a gagner cette grotte pendant un moment d'absence des pirates qui chargeaient leur bâtiment.
C'est là que j'ai vu un lion Blanc m'apparaître, captif dans sa cage. Mon frère a eu le temps de crocheter la serrure de sa cage et bizarrement le lion n'est pas parti,
il est rester à côté de nous pendant que mon frère tentait d'ouvrir la seconde cage mais à ce moment là les pirates débarquèrent, alors nous nous sommes cachés
mais nous n'avions pas fermer la porte de la cage derrière nous et les pirates s'en sont vite rendus compte et à ce moment où ils finirent par venir dans notre direction,
le lion leur bondit dessus bravement et en trois coups de patte les a envoyés dans les bras de Morphée. Nous avions couru comme jamais!
Sauf moi qui était sur le dos de mon frère... Palantir lui, avait disparu. Ce n'est que le lendemain que je le revit, il avait trouver notre camp et s'était introduit dans ma chambre en passant par ma fenêtre.
Je ne sais pas comment le dire mais c'est comme s'il m'avait parler à ce moment là, comme si on se comprenait sans rien dire. Il cherchait une famille, je lui en ai offerte une,
c'est ainsi que j'ai rencontrer Palantir, mon fidèle, à qui je dois déjà plusieurs vies.

• Alasséa.

- Quelques Années passèrent et me voilà déjà à mes 17 ans lorsqu'enfin j'ai connu ma demi-sœur, elle était venu se réfugiée chez moi avec ma belle mère. Elle avait fuit son père qui la battait et la séquestrait l'empêchant de rejoindre sa mère.. Elle devint une grande amie, puis une confidente, elle a d'ailleurs fini par m'expliquer pourquoi on n'avait plus jamais vu son père après sa fugue.. Avec elle on a été s'installer de l'autre côté de l'île après un mois de ça.
On en avait marre du drôle de ménage qui régnait tout le temps au foyer entre une mère et un père trop plein de caractère et d'un passé sans doute trop rempli de séquelles.
Voilà alors qu'on s'était monter un ménage à deux.. Et par la force du temps sans doute elle et moi nous sommes vraiment rapprochées jusqu'à former un vrai couple..
On s'occupait des affaires de notre île et de certaines proches on faisait un beau duo ' la terrasse Alorë ' marchait très bien, jusqu'au jour où je me suis rendue compte
à quel point tout fini toujours par avoir une fin..



:croco:

• Pirates contre-attaque.

- J'avais alors 19 ans quand un matin comme bien d'autres on avait rencontrer un homme étrange qui voulait nous revendre sa cargaison,
J'ai vite remarquer sa jambe de bois mais sans me poser plus de question. Je me disais simplement qu'il allait encore faire le transport nous même...
Il nous avait présenter beaucoup de marchandises intéressantes, et nous entrions alors dans notre entrepôt pour l'en remplir, mais au moment ou il aperçu Palantir à l'intérieur,
l'homme se mit à courir à l'extérieur comme il pouvait.. C'était d'ailleurs assez pitoyable... Il allait chercher ses compères et ils le rejoignaient vite, les armes dégainées.
Cet 'homme avait perdu une jambe dans la gueule de Palantir il y a eu 10 ans de cela quand nous l'avons libérer de sa cage mon frère et moi...
Voilà alors que nous avions tout un bâtiment de pirate aux trousses, nous avons vite fuis par l'arrière de l'entrepôt rejoindre les parents alors que les pirates remuaient toute l'ile
pour nous retrouvés, et nous avions espéré que dans notre vieille maison isolée nous n'aurions pas de problèmes mais très vite ils l'avaient trouvée et voilà que cinq hommes forçaient l'entre.
Nous avons fait si vite que possible: sauter par la fenêtre, courir jusqu'à la plage et se mettre à ramer sur notre petite barque en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire
mon père ma mère, moi et ma demi-sœur ainsi que palantir à bord.
C'est à peine si la barque ne prenait pas l'eau si nous rajoutions dix kilos de plus!
Nous éloignant de la plage rapidement, nous pensions être tirés d'affaire mais cet'espoir s'acheva en même temps que le silence quand un coup de feu retenti dans les échos..
C'était la fin.. On imaginait bien qu'ils avaient déjà gagner leur navire, il fallait alors ramer comme trente pour atteindre la terre le plus vite possible.
Après un quart d'heure les voiles noires du bateau derrière nous cachait le soleil, nous plongeant dans la pénombre.
Ils nous ont aborder, deux pirates on sauté sur notre barque, mon père saisit une rame et les fit tomber tour à tour à l'eau mais un pirate encore sur le bateau l'abbatu lachement d'une arme à feu.
J'ai attrapé ma sœur et j'ai sauter à l'eau avec, palantir l'aidant à nager car elle ne savait pas nager.. On a nager, nager et... nager... Pendant au moins quatre heures on a du lutter pour rester
à la surface d'une eau menaçante sans trouver aucune terre! Et j'ai finit par sombré au fond des eaux..

• Santa Anna.

- Alasséa m'a repêchée après mon malaise mais je suis restée inconsciente longtemps dans ses bras.. Elle m'a raconter à mon éveil que nous avions été repêchés par des pirates...
Mais pas de mauvais pirates... Sur les milliers de crapules qui voguent sur l'océan je crois que j'ai rencontrée le seul pirate ayant encore garder une âme, et une honneur,
c'était un orc du nom de Batto.
Oui, il avait bien trouver son nom! On avait d'abord cru qu'ils allaient nous faire du mal, mais après quelques jours, Batto avait réussi à gagner notre confiance.
Je lui raconter mon histoire et lui la sienne... Et en fin de compte le pirate que Palantir avait fait unijambiste était son confrère le plus détesté, il en avait même remercier Palantir
et nous a offert un voyage jusqu'à Cabestan.
Après une petite semaine nous sommes enfin arrivés à destination, et c'était une pirate nouvelle qui posa le pied à Cabestan.

- En effet, Batto m'avait fait une offre que je n'ai pas pû refusé: rejoindre son équipage à bord du Santa Anna, et la mort de Vashna en bonus, le pirate qui a causé la mort
de mon père et de la mère d'Alasséa, il avait fait coulé des larmes sur son visage que j'aimais tant et je lui en voulait à mort pour ça..
Quitte à passer un marché avec le diable il fallait bien vivre de quelque chose, et je ne voulais pas savoir Alasséa en danger alors j'ai été éliminé ce 'danger'...


- Batto m'avait prit sous son aile, même contre tous les autres qui ne voulaient pas d'une elfette parmi l'équipage, il m'avait apprise à me battre, à survivre, à être forte.
C'était comme un père qui avait surgit du fin fond des océans..
Quelques mois plus tard il me semble, j'étais enfin prête selon Batto, et nous avions été trouver Vachna sur une île non loin de Cabestan, à l'Est.. Il venait y vider son butin comme toujours,
Et Batto le savait, nous avons gagner l'île et c'est alors que Batto l'a fait venir jusqu'à moi, une lame derrière la nuque pour que je puisse le reconnaître, et Vashna lui aussi m'a reconnue.
Il tira l'épée de son fourreau en criant et tout son équipage s'est mit à nous foncer dessus, Batto ordonna de tous les abattre et le sang coula à flot ce jour là sur l'île qui fut plus tard appelée
l'île Vahsna, après que j'ai mit à mort mon démon l'ai mit à mort en combat singulier, nous avons croiser le fer plus de cent fois au moins!
Et finalement j'ai fini par l'avoir sur l'agilité, il n'a rien vu venir.. en même temps moi même sur une jambe de bois j'aurais fini par tomber, et je l'admire pour avoir tenu si longtemps à moi
qui osait déjà défié Batto les matins où je me levais du pied gauche ou que je tombais de mon lit, les jours de tempêtes.
C'est ainsi que je suis devenu Capitaine en seconde du Santa Anna.


- C'était sans doute la plus grosse erreur qu'a fait Batto, laisser une gamine de 24ans au commandement..
Déjà que la mutinerie se faisait sentir depuis qu'il m'avait prise sous mon aile, là à bord depuis lors ça puait la traitrise et les fidèles à Batto se faisaient bien rare..
Environs deux mois plus tard alors que nous rentrions vainqueur sur la côte d'Auberdinne,
le maître d'arme et une dizaine se sont prit dans des joutes de dialogues menaçantes avec le capitaine et Batto défia le maître d'arme, mais celui-ci savait très bien qu'il n'était pas de taille face au Capitaine, ainsi le maître d'arme et sa bande de traitres sournois lancèrent une charge face au capitaine,
moi ainsi que deux autres fidèles de Batto qui d'ailleurs sont vite tombés en nous protégeant des coups de feu... Le capitaine s'est prit lui aussi une volée de balles en me servant de bouclier
avant que je saute par dessus bord avec lui blessé... Mais encore une fois... La mer immense ne nous laissait pas de chances... Et j'ai nager, nager avec le capitaine sur le dos,
un orage à éclater, je me suis évanouie et à mon réveil j'avais atterri je ne sais pas quel miracle sur la côte nord d'auberdinne...
Je suis alors rentrer comme je pouvais avec l'argent de deux, trois elfes de la nuit qui vivaient dans le coin, et à qui j'ai rendu visite...
Une fois rentré j'ai traquer le Santa Anna et une trace de la vie de Batto sans relâche mais... Rien. Ils avaient disparu de la circulation.
Avec Alasséa nous avons vécu d'amour et d'eau fraîche mais aussi de tout l'or que j'avais gagner par mes services de Capitaine en seconde, nous avions bien plus qu'il ne nous en fallait.
Avec elle j'ai pu cicatrisée à nouveau et nous avons redémarrer une vie comme toujours, ce qu'on savait si bien faire, malgré quand pas une seconde je n'oublierais mon second père
et je ne perdrais espoir de le revoir un jour car je sais que quelque part, cet'homme est encore vivant...


(...)

(...)

• Les bonnes choses trouvent toujours une fin.

- Avec Alasséa nous avions de grand projets, nous nous sommes mariées en secret, nous profitions de la vie, nous avons fait au moins dix fois le tour du monde
' Au bout du monde avec toi! '
comme je le disais bien souvent, et le faisait aussi.
Nous avions une belle maison sur l'ile Vashna, à l'écart ou personne ne devait plus jamais venir brisé nos moments,
je lui ai promis d'être à jamais à ses côtés pour les bon moments comme les mauvais. Voilà que six ans avaient passées et j'arrivais à mes 30 ans et j'aurais pu continuer jusqu'à un millénaire entier et même plus, même après le jour de la résurrection dans ce rêve que je vivais alors avec elle..
Mais bien sur comme tout trouve toujours sa fin pourquoi ça devrait changer?
Et tout commença alors quand le fils de Vashna devint pirate, il était bien jeune c'était un orc haut comme six pommes et déjà il avait bâti un équipage sur la réputation de son père,
il revendiquait l'île et bien sûr je m'y suis opposée formellement, quitte à croiser le fer personne ne me fera partir de chez moi. Bien sûr il ignorait encore qui j'étais mais j'imagine qui a dû se renseigner sur mon compte..
Et il y a toujours un crétin ivre pour balancer les vieux ragots qu'il a entendu lors d'une de ses réunions quotidiennes avec sa chope.

- Un mois ou deux plus tard je le voyais arriver avec ses grandes voiles noires, à bien des lieux de l'île, et je savais que s'il revenait ça ne serait pas pour prendre l'apéro..
J'ai charger tous les fusils que j'avais, j'ai poser autant de pièges que j'ai pu, même un râteau au sol me semblait un bon piège..
Je n'étais plus dans mon monde de sang quand ça m'est tombé dessus.. Et il débarquait avec son équipage, ils devaient bien être vingt, et j'ai vider mes quatre fusils en un éclair, et déjà ils n'étaient plus que 16, j'avais continuer des tirs furtifs à l'arc et quelques uns tombaient
de là et de là... Jusqu'au moment ou ils m'ont débusquée et c'est moi qui ai essuyer des tirs, je m'en suis prit dans la jambe et je me sentais tout d'un coup comme un unijambiste face à un pirate
en soif de vengeance... Comme il y a six ans de cela au même endroit...
Je sentais ma fin proche, palantir lui comme toujours m'avait sauver la mise en les prenant en sandwich mais lui aussi a vite fini par tomber, ils étaient encore quatre et je peinais à me tenir debout,
j'allais m'évanouir et je le sentais de plus en plus à chaque impact des balles du vil fils de Vashna qui n'osait même pas me défiée loyalement.
C'est alors que Alasséa sorti de sa cachette saisit mon épée et se précipita sur lui, mais d'un coup il la projeta au sol et ils rirent comme des diables,
tandis que je suis tombée et que je gisais inconsciente... Sans elle le capitaine m'aurait porter le coup de grâce, son fusil était sur ma tempe...
Et j'aurais préférer que cela se termine ainsi. Plutôt qu'elle ne vienne mourir pour moi..


- A mon réveil j'étais pendue par les mains à un arbre en plein soleil sur une montagne perdue des Tarides, abandonnée, les vautours attendaient plus que la fatigue m'emporte pour venir porter le coup de grâce, j'agonisais aussi bien de par mes blessures qui coulaient encore que par la chaleur qui me lacérait de son fouet ardent que par ma peine de savoir Alasséa disparu,
n'ayant pas réussi à la protégée... Une journée passa ainsi... si lentement que j'aurais dit une semaine entière quand mes paupières lourdent se fermaient petit à petit sans que j'en prenne conscience...
Puis à mon réveil j'étais au sol. Palantir me tirait jusqu'au village le plus proche : la croisée où un chaman me soignait moi et Palantir et m'offrir l'hospitalité pour la semaine,
le temps que je puisse à nouveau être sur pied, même si je n'avais qu'une hâte: retrouver Alasséa.
Cinq jours passaient et j'avais déjà retrouver mes moyens, et nous partions alors pour Baie du butin retrouver celle que j'aimais plus que tout.

• La soif de vengeance.

- Pendant plus de six mois, j'ai traquer dans tous les recoins les plus cachés et inimaginable du monde ces pirates, mais sans navire.. Il était dur de les trouvés...
Mais finalement j'ai finit par les pistés à l'aide d'un ami chasseur que j'avais rencontrer à Cabestan il y avait un moment de cela.
On savait qu'ils allaient passer par Cabestan un soir pour y vendre leur butin, et nous avions camper alors au port toute la nuit, je m'impatientais de faire connaître à cet'orc fils de de lâche nommé Vashna, les enfers qui peuvent parfois existait sur terre près d'une elfette ayant perdu une partie d'elle même.
Il devait être quatre heure du matin, à l'aurore quand dans mes yeux se reflétaient les voiles noires du bateau que s'attendait et avec lequel je cauchemardais toutes les nuits.
J'affûtais encore une fois mes épées et ma dague, je chargeais mon fusil tandis que Warquor, le voleur, parsemait ses armes de poison anesthésiant pour endormir l'équipage.
Quand ils ont quitter le navire, qu'ils mirent pied à terre en une seconde peut être deux nous étions déjà les armes pointant leur flanc à les chargés,
Warquor en cinq coup et avec l'aide de Palantir, avait endormi une bonne partie de l'équipage, de mon fusil j'en abatis deux autre.
Et enfin je défiais le capitaine tant Haï et après trois ou quatre assaut je lui envoyait un violent coup de pied dans la tête et il s'endormit à son tour, quand on eu neutraliser tout l'équipage on quitta rapidement Cabestan sans que les gardes n'aient le temps d'intervenir en emportant le capitaine.


- Nous l'avons porter jusqu'au cavernes des lamentations ou nous l'avons ligoté et interroger, torturé jusqu'à ce qu'il se décide à parler enfin trois jours plus tard.
Il avait revendu Alasséa à un fils de salop apparemment proxénète d'Ogrimmar, il y avait bien longtemps, peu après qu'ils eurent aborder l'île Vashna.
Une fois que j'en eu tiré tout ce que je pouvais je le relachais avec les tendons d'Achilles coupés et lui laissait une demi heure pour s'enfuir.
Une demi-heure passait et il n'avait guerre été loin dans cet'état, je le retrouvais, l'attachait par les pieds à un Kodo qui passait par là et je le laissait ainsi mourir..
J'avais été gentille avec lui car j'espérais encore pouvoir sauver Alasséa.


- Je me mit en route aussi vite que possible pour Oggrimar et je me renseignait sur cet'homme et son bar de nuit que je trouvais vite et que je me sentais débile
de ne pas avoir trouvé plus tôt... Sous mes yeux... Si près... Je dû alors entré désarmée et en laissant Palantir à l'entrée, bien sûr ça serait mentir si je disais que je n'avais pas dissimulé de lames dans mes manches.
J'arrivais bientôt dans le bureau du Patron en lui offrant une grosse somme d'argent pour trouver la fille que je cherchais, par chance elle n'était pas loin, sans doute séquestrée dans une villa non loin d'Ogrimmar et une heure plus tard je la revoyais... Sans pouvoir rien faire que de négocié une somme...
Pour elle... Rien que l'idée de l'acheter m'horrifiait et de plus cet'homme me demandait une somme immense, et je n'avais plus la richesse d'autrefois,
surtout après avoir mener de longues recherches pour retrouver Alasséa.
J'ai prier la malchance de m'abandonner un instant et j'ai sorti mes lames ainsi qu'une bombe asphyxiante que je projetais au sol et noya la salle dans un
brouillard épais ou on ne pouvais rien distinguer.
Tout commença et j'ai ainsi neutraliser deux gardes dans l'instant qui suivit, des coups de feu résonnaient partout dans la pièce et bien vite le dernier coup retenti et se tut à jamais,
quand j'eus terminer le massacre et que le brouillard se dissipa... Rien.. il ne restait que moi debout sur cette marre de sang... Alasséa était au sol...Elle avait un fusil dans la main...
Le dernier coup de feu venait d'elle... Je pensais deviner un ennemi et j'avais jeter mes deux dagues dans la direction du coup... Celles même qui étaient profondément enfoncées dans la poitrine d'Alasséa...
Je savais au fond de moi que je n'avais pas pu tous les tués seule... Ils étaient bien trop nombreux pour moi...


- Je l'ai alors portée aussi vite que possible chez un prêtre et la posant sur une table,
je la vit ouvrir ses yeux pour la toute dernière fois... C'était horrible, je n'arrivais pas à la regardée en face après ce que j'ai fais, je pleurais dans ses bras en la
suppliant de vivre... Et dans un instant de lucidité elle réussi à parler une dernière fois pour me souffler " Jusqu'au jour de la résurrection... "

- Le prêtre n'avait rien pu faire pour elle... Il était trop tard.. J'avais tué celle pourquoi j'étais prête à mourir dix fois s'il le fallait...

• Lost. (Saison 5)

- Je m'étais transformée alors en démon, je souhaitais la mort de tous les pirates et j'ai fait une génocide de tous ceux qui posaient le pied à Baie du Butin, là
ou je vivais comme un monstre, dans une cabane dans la forêt, loin de tout, en chassant pour manger et en fabriquant mes propres flèches avec Palantir..
C'était à cause de lui... Ou plutôt grâce à lui que j'étais encore de ce monde, en effet j'avais tenter de retiré la dague du torse d'Alasséa pour me l'en foncée dans la poitrine
à mon tour mais Palantir m'a mordu le bras et m'a désarmée...
C'est alors à Baie du Butin que j'ai décidée de faire mon deuil à ma façon, après avoir rendu son corps en flamme à l'océan, en attendant encore un moment
pour rejoindre mon aimée dans une vie future..


- Je crois que j'ai bien passé 3 ans à vivre en hermitage ainsi... Avant de croiser le chemin d'un Paladin qui changea ma vie...
Il me redonna la foi et j'ai finalement rejoint les rangs de la horde aux seins des champs de batailles à ses côtés, ce Paladin était Ulnaar et il réussi petit à petit à me redonner gout à la vie... Avec lui j'oubliais le passé sans l'oublier, en vivant instant présent...
J'ai bien passé 10ans avec lui... J'ai su aimer à nouveau dans ses bras, même si jamais je n'oublierais mes vieux fantômes... Et je ne le voudrais jamais.
J'ai pu vivre sous mon toit et il m'apprit à me battre avant de me laissé rejoindre son bataillon, il veillait sur moi et Palantir durant les batailles
comme un ange, à lui aussi je dois bien des vies...
Le champ de bataille avait fait notre fortune, à deux rien ne pouvais nous arrêter, mais le champ de bataille donne et sait aussi très bien prendre.
Au court d'une bataille, nous étions en sous nombre, mais trop fiers, nous n'avons pas battu en retraite, nous tombions un par un à une vitesse folle..
En quelques quart d'heure et nous en avions passé de très mauvais ce jour là, nous n'étions déjà plus qu'une poignée de cinq ou six avec Palantir.
Je tirais, tirais, j'avais vite fini mon carquois et vite je me suis fait attrapée dans un cercle des plus vicieux.. Encerclée par des humains et des elfes de la nuit.
C'est alors que Warquor le brisa bravement et tout en combattant me saisit et me jeta en me criant de fuir, je ne voulais pas mais Palantir me dissuada d'y retourner et me saisit la jambe de ses crocs ne me laissant que la retraite comme solution, il m'a sans doute sauver encore une fois..
Mais Warquor lui, personne ne l'avait sauver. Je suis revenue récupérer son corps plus tard pour lui faire mes adieux sur les berges de Strongleronce là
où nous nous étions rencontrés.

• Aujourd'hui.

- J'ai alors après sa mort décidé de quitter les champs de batailles, et après quelques années meurtrières comme je savais si bien les faire : que les elfes de la nuit d'auberdinne on encore en mémoire j'en suis sûre, j'ai fait des rencontres et tout particulièrement celle d'un maître chasseur qui avait reconnu en moi et Palantir le lien entre le maître et son gardien et m'a jugée digne de rejoindre ses rangs.
Il m'a formée à l'art de la chasse en me prenant sous son aile, moi qui n'avait plus aucun but et qui errait ici et là sur ce monde qui m'avait déçu, il m'avait donner un nouveau souffle et j'ai recommencer à zéro, encore une fois, je me suis entraînée dure, et encore je m'entraîne dure pour devenir la plus grande chasseuse que ce monde et les autres
aient connus! Bien sûr j'ai encore un millénaire devant moi pour ça..


- J'ai vite rencontré le soleil brisé à Tirifiscal lors de mes escales là bas, je me souviens, ce soir là je venais fêter mes cinquante années autour de cinquante chope en compagnie d'amis, D'ailleurs j'ai hâte de fêter mon premier centenaire!
J'y suis revenu parfois pour prendre du bon temps après les nombreuses missions que mon maître m'imposait.


- Puis une année plus tard j'ai croiser à nouveau cette guilde à Cabestan où ils avaient décidés d'ouvrir une nouvelle Taverne, j'ai vite reconnu Inanna que j'avais déjà pu croiser à Tirifiscal et j'ai décidée de proposer ma candidature, après avoir appris qu'elle cherchait du personnel.
Même si je sais que je n'ai pas vraiment de temps pour y travailler avec mon entraînement, de temps en temps ça fera passé le temps et puis je ne refuse pas une petite aide pour mes fin de mois!
Être apprenti chasseresse ça ne nourri pas son familier! Ni son homme... Là j'ai fait la connaissance de toutes vos petites têtes dont celle de ma concurrente j'ai nommé Endomiel, et oui une petite dédicace pour ma consœur chasseresse! Tu as intérêt a faire attention si tu ne veux pas que je te dépasse hihi... J'ai fait aussi la conaissance de la clientèle aussi aimable soit-elle... Et j'espère pouvoir progresser au sein de cette confrérie nouvelle, l'aider à parfaire sa force et avec vous à allez plus haut, mais pour ce qui suit.
L'avenir est un long passé..



To be continued..